Tarek EL MASRY

Simon FRACHET

2012-2017 : Premier et second cycle des études médicales – Limoges
2017-2021 : Internat de Neurologie – CHU de Limoges
2019 : DIU Neuropathies Périphériques – Paris Sud
2020 : DU Explorations neurophysiologiques cliniques – Paris Sorbonne
2021 : DIU Mouvements anormaux et pathologies du mouvement – Paris Sorbonne
2021 : Thèse de Médecine – « Etude de l’influence d’un traitement préalable par un inhibiteur du système rénine-angiotensine sur la survenu d’une neuropathie chimio-induite chez les patients traités pour un cancer solide »

2018 : Master 1 Biologie Santé – Limoges
2021 : Master 2 BIP Neurosciences, parcours Neurosciences Cellulaires et Intégrées – Paris Sorbonne
Thèse en cours : Neuropathies périphériques induites par la chimiothérapie : nouveaux modèles, méthodes d’évaluation et stratégies préventives

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Camille LORET

2019 : Licence Science de la Vie, Parcours Biologie Cellulaire et Physiologie – Faculté des Sciences et Techniques, Limoges (Semestre S6 à l’Université d’ADA, OK, USA)
2021 : Master Biologie Santé, Parcours Oncologie Moléculaire et Biothérapies – Faculté des Sciences et Techniques, Limoges

Thèse en cours : Technologies hiPSC et CRISPR-Cas9 : Création de modèles cellulaires de motoneurones humains et test de nouvelles stratégies thérapeutiques pour la maladie de Charcot-Marie-Tooth

La maladie de Charcot-Marie-Tooth (CMT) est la neuropathie périphérique héréditaire la plus fréquente chez l’homme. En effet, plus de 100 gènes et plus de 1000 mutations associées ont été identifiés comme responsable de cette pathologie. Cette grande hétérogénéité génétique, ainsi que le manque de modèles cellulaires et animaux valides, ont compliqué la découverte et la mise ) l’essai de stratégies thérapeutiques potentielles. L’objectif principale de ce projet est le développement et l’analyse de modèles valides pour la CMT, afin de tester des molécules thérapeutiques. A Limoges, grâce à la mise en place d’une culture de cellules souches pluripotentes induites humaines (hiPSCs) à partir de témoins et de biopsies cutanées de patients CMT, nous avons réussi à obtenir des motoneurones humains (MN). Grâce à la technologie CRISPR-Cas9, nous créerons et caractériserons des modèles de MN CMT supplémentaires, porteurs de différentes mutations génomiques. Enfin, ces modèles cellulaires, seront utilisés afin de tester in vitro des molécules thérapeutiques en collaboration avec l’Institut Pasteur de Lille.

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Mohamad MROUE

2015 : Baccalauréat Scientifique mention « Science de la Vie », Ecole Elissa, Liban
2016 : Licence Science de la Vie, Parcours « Biochimie Biologie Moléculaire et Cellulaire, Génétique » – Faculté des Sciences et Techniques, Limoges
2019 : Master Biologie Santé, Parcours « Oncologie Moléculaire & Biothérapies » – Faculté des Sciences et Techniques, Limoges

Thèse en cours : Exploration des neuropathies périphériques induites par les thérapies anticancéreuses chez des souris exprimant un cancer et prévention thérapeutique
Le développement de nouvelles thérapeutiques pharmacologiques spécifiques des neuropathies périphériques chimio-induites (CIPN) sans effet négatif sur le traitement de la tumeur, représente un enjeu majeur dans la prise en charge des patients traités par chimiothérapie anticancéreuse. Des modèles de neuropathies sensitives induites par la vincristine (VCR) et par le paclitaxel (PTX) ont déjà été développés et caractérisés au sein de l’équipe de recherche UR 20218 et ces modèles ont permis de mettre en évidence les propriétés neuroprotectrices de plusieurs molécules. Cependant, l’influence de l’interaction entre ces molécules et la chimiothérapie sur son activité anitcancéreuse n’a pas été explorée.
A ce jour, aucun modèle animal de neuropathie sensitive induite par la chimiothérapie associé à un cancer n’a encore été développé. Ce projet de thèse permettra de mettre en place deux modèles syngéniques de cancer ectopique, ce qui permettra de vérifier s’il existe un potentiel effet synergique de nos molécules neuroprotectrices sur l’activité anticancéreuse des chimiothérapies, voire un effet anticancéreux propre aux traitements seul sur différentes lignées tumorales murines in vitro et in vivo. Un tel modèle permettrait de mieux comprendre le lien entre le cancer et le développement des neuropathies associées ou non à la chimiothérapie neurotoxique et d’évaluer l’effet de molécules candidates neuroprotectrices sur la neuropathie induite par la VCR ou par le PTX, voir celles potentiellement induite par la tumer, ainsi que sur l’activité antitumorale de la chimiothérapie.

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Camille SCHERRER