Impression 3D

Nous avons choisi de nous appuyer sur la communauté  des membres, très actifs, Ultimaker

Ayant essayé divers imprimantes, dont la Up mini et la  Makerbot Réplicator 5eme génération,  leurs utilisations dans le cadre d’un Falab se sont avérées décevantes . Leur  fiabilité résiste difficilement à une utilisation multi-utilisateurs et les difficultés de mise en oeuvre ( réglages) s’avèrent vite fastidieuses.

Nous nous sommes donc orientés ver l’univers Ultimaker  et ces machines Open Source  proposent sur le papier  des solutions très intéressantes au vu de nos besoins. Ultimaker 2+ nous permet de réaliser des impressions 3D de volume importants. (230 x 225 x 305 mm)

Depuis dèjà 2 ans que nous les utilisons nous n’avons rencontré que peu de problèmes et les usagers se sont familiarisés très vite avec leur mise en oeuvre. 

Imprimante 3D  à 1 tête d’impression

Qualité : épaisseur de couche jusqu’à 20 microns (0,02 mm)
Précision : 300 à 20 microns
Rapide : vitesse de 30mm à 300mm/s
Volume d’impression : 230 x 225 x 305 mm
Impression de nombreux filaments 2.85mm : PLA, ABS, CEP et bien d’autres
Diamètre des buses : 0.25mm, 0.4 mm, 0.6 mm, 0.8 mm
Logiciel : Cura est le slicer le plus utilisé sur le marché, libre et développé par Ultimaker
Connexion : Carte SD / Câble USB

Attention , l’utilisation des  machines nécessite une formation afin d’éviter la casse.  N’essayez donc pas  de vous lancer seul sans l’encadrement d’un ancien!

Merci

Dangerosité de 3D l’impression

Nous avons souvent des questions sur la dangerosité des émanations lors des impressions 3D. Il faut savoir que les études sont peu nombreuses  et dépendent fortement du type de technologie utilisée. Outre les risques de brûlures évidents lors de l’impression , l’usage du PLA par fusion de filament est parmi les moins polluants en termes d’émissions et c’est ce que nous privilégions dans notre Fablab.  Il faut cependant penser à aérer correctement les locaux par mesure de sécurité.

Nos adhérents ont testé l’impression et la résistance d’une courroie imprimée en 3D en matériau souple.

Le document joint montre la courbe de charge de la résistance et fait apparaitre la déformation de celle-ci en fin de test.

Au final,  la courroie bien qu’ayant quadruplé sa longueur lors du test, n’a pas rompu. La déformation de la courroie est cependant  conséquente

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